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FAQ

Les anciennes interfaces administrateur A et B (données de facturation et données des résidents) ainsi que l'interface vers une solution de documentation des soins (PDok) sont disponibles sans changement de contenu. Afin d'harmoniser le portefeuille de produits, les interfaces AB seront désormais répertoriées et facturées séparément. L'interface C-Files (exportation des absences) n'est plus disponible, car elle n'a pas été demandée par les clients jusqu'à présent.

Quelles sont les différences par rapport à aujourd'hui ?

Pour la communication avec la plateforme SaaS, nous mettons à disposition des services correspondants à installer localement. Du point de vue des fournisseurs de logiciels tiers, tout demeure inchangé.

Quel est le fonctionnement des nouvelles interfaces ?

RAIsoft : Les fournisseurs tiers continuent d'écrire dans des fichiers texte ou des tables de base de données. Nos nouveaux services assurent le transfert des données de et vers la plateforme Saas.

L'interface ePDoc Admin (feuille des données de base) a été fusionnée avec l'interface Admin de RAIsoft et ne figure plus comme position d’offre distincte.

Les interfaces spéciales Barcomed (décompte des médicaments), Momo (Mobility Monitor) ainsi que la planification des prestations sont en cours de planification/développement, Medifilm (blister de médicaments) est en cours de conception.

Quelles sont les différences avec aujourd'hui ?

Les interfaces sont basées sur la même plateforme SaaS que RAIsoft. Du point de vue des fournisseurs de logiciels tiers, il ne faut pas non plus s'attendre à des changements.

Quel est le fonctionnement des nouvelles interfaces ?

ePDoc : Les détails techniques des interfaces Barcomed, Momo et Medifilm sont en cours d'élaboration, de plus amples informations suivront.

DN est un modèle de financement et de documentation spécialement développé pour la Suisse en 2015. Avec le passage à interRAI LTCF, le DN suisse a également été adapté au LTCF. Le DN LTCF ne fait pas partie des instruments interRAI, mais il reste reconnu en Suisse et peut continuer à être mis en pratique.

L'institution doit remplir les conditions légales selon l'art. 39 al. 1 let. a-c de la LAMal et demander au préalable un numéro RCC pour l'utilisation du DN LTCF. La demande se fait via le site internet : www.sasis.ch

Les institutions ont besoin d'une autorisation spéciale pour exploiter des structures de jour et de nuit, ainsi que d'un mandat de prestations lorsque le canton le prévoit.

Si l'institution est située dans un canton où seul BESA est autorisé comme instrument d'évaluation des soins requis, une décision du gouvernement cantonal est généralement requise

  • Introduction du RAI DN LTCF dans votre institution
  • Formation d'une demi-journée sur le DN LTCF (si aucune connaissance) en ligne ou sur place
  • Session en ligne de deux heures pour clarifier les questions en présence de bonnes connaissances préalables
  • Coaching thématique sur site avec plusieurs participant∙e∙s (en cas de peu de connaissances préalables ou de désir de mise à jour des connaissances)
  • Clarification de questions individuelles via l'Infoline de BESA QSys AG

Les résidents DN ne peuvent pas figurer dans le rapport des jours de soins du RAIsoft et la saisie en continu des admissions, des sorties et des réadmissions prendrait trop de temps. Nous recommandons donc la solution suivante pour les hôtes de jour:

  • Définissez une unité de soins distincte pour les hôtes DN dans le RAIsoft.
  • Saisissez tous les résident∙e∙s DN dans cette unité, sans représenter l'utilisation temporelle.
  • Exclure l’unité de soins avec les hôtes DN lors de la création du rapport sur les jours de soins et, si nécessaire pour les statistiques, prendre en compte manuellement les jours de soins pour l’unité de soins DN.

Actuellement, le CP2010 est utilisé dans les établissements médico-sociaux (EMS) suisses. Dans les cantons qui autorisent aussi bien l’emploi du système BESA que du système RAI, une " version calibrée " des deux systèmes est appliquée. Celle-ci contient une réduction linéaire de 8.45 % des minutes de soins BESA.

Avec l’indice RAI 2016, le calibrage des deux systèmes peut être supprimé. BESA Care a informé les cantons concernés, en décembre 2016 déjà, qu’une introduction de l’indice RAI 2016 doit avoir comme conséquence la suppression du calibrage du CP2010. Le canton d’Argovie a procédé de cette manière en janvier 2019, d’autres cantons planifient actuellement cette suppression du calibrage.

En juillet 2019, les modifications de l’OPAS ont été publiées. Celles-ci entreront en vigueur en janvier 2020 (avec une phase de transition allant jusqu’à la fin 2021). Selon les exigences relatives aux instruments d’évaluation des besoins en soins qui y figurent, les niveaux de soins BESA devront correspondre aux prestations de soins effectivement données (selon des mesures de temps) (OPAS art. 8b al. 2).

C’est pour répondre à ces exigences que BESA Care a développé le CP2020.

Le nouveau Catalogue de prestations BESA a été développé pour répondre aux exigences relatives aux instruments d’évaluation des besoins en soins édictées par l’OFSP. Au plus tard au début 2022, le résultats fournis par le catalogue de prestations devront correspondre aux mesures de temps pour chaque niveau. BESA QSys a utilisé les données récoltées dans les mesures de temps CURAtime effectuées entre 2017 et 2019, puis les a analysées en collaboration avec le bureau d'études de politique du travail et de politique sociale BASS. Il en est ressorti que la structure des items, les minutes de soins et les fréquences du CP2010 correspondaient aux résultats des mesures. Pour répondre aux exigences de l’OFSP, le calibrage doit obligatoirement être supprimé. En plus, des adaptations ont été nécessaires sur les prestations transverses et sur le facteur de participation du résident.

La suppression du calibrage engendrera une hausse de 8,45% des résultats en minutes de soins précédemment obtenus. Avec l’introduction effective du CP2020 de légères augmentations des niveaux de soins peuvent apparaître, ceci en fonction du Casemix des résident.es. L’argument principal en faveur du CP2020 réside dans le fait que les prestations de soins effectivement données seront mieux considérées, ainsi la répartition des niveaux de soins dans un EMS sera plus exacte.

L’indice RAI 2016 a été introduit dans le canton de Soleure et une caisse d’assurance maladie a contesté cette décision. Le Tribunal fédéral a à présent confirmé que les cantons sont libres de décider des versions des instruments d’évaluation des besoins en soins qui sont utilisées sur leur territoire. Cependant, dès 2022, toutes les versions en application dans les cantons devront répondre aux exigences relatives aux instruments d’évaluation des besoins en soins.

BESA QSys s’est basé sur une quantité importante de données (plus de 1200 saisies CURAtime dans 23 institutions) pour définir les adaptations du CP2020. Les experts du bureau d'études de politique du travail et de politique sociale BASS en ont testé la méthodologie. Toutefois, il n’est pas encore clairement défini au niveau national, si CURAtime sera reconnu comme méthodologie pour l’analyse des activités. Un groupe de travail regroupant les fournisseurs de prestations, les cantons et les assureurs se penchent actuellement sur la question. Nous restons confiant sur le fait que CURAtime sera reconnu comme tel, notamment car l’outil est très répandu dans le domaine des soins de longue durée. Développer une alternative à cet outil et procéder à de nouvelles analyses dans les institutions serait cher et chronophage.